L’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a organisé un colloque sous le thème : ‘’Initiatives vertes, plantation d’arbres pour lutter contre le changement climatique et réduire les émissions de CO2 : une perspective de préservation de la biodiversité’’, en vue d’examiner les défis auxquels fait face ce secteur à l’échelon mondial, d’échanger les expertises et de promouvoir la complémentarité entre les différentes initiatives visant à préserver la biodiversité au profit des générations actuelles et futures.

Cet évènement, tenu à distance le jeudi 20 mai 2021, s’inscrit dans le cadre de la commémoration par l’ICESCO de la Journée internationale de la biodiversité. Célébrée annuellement le 22 mai, cette année a été placée sous le thème : ‘’Nous faisons partie de la solution’’.

Le colloque a vu la participation de Dr Raheel Qamar, Directeur du Secteur des Sciences et de la Technologie à l’ICESCO, d’un nombre de conseillers et d’experts au même Secteur, aux côtés de scientifiques, responsables et activistes dans le champs des changements climatiques et la préservation de l’environnement, issus de différentes régions du monde. Leur mission était de renforcer les efforts en vue de réaliser les visées de l’accord de Paris et de l’accord-cadre des États-Unis relatif au changement climatique.

Les représentants de l’ICESCO ont affirmé l’engagement de l’Organisation à soutenir les initiatives lancées par les États membres pour lutter contre les impacts négatifs du changement climatique, à travers la mise en place de partenariats facilitant l’échange des expertises et l’intégration des responsables, de la société civile, des universités et des instituts de recherche dans le dialogue sur la lutte contre le changement climatique, la réduction des émissions de gaz à effet de serre et la protection de la biodiversité.

À cette occasion, les participants ont abordé les répercussions du changement climatique et de la biodiversité sur les sociétés et les écosystèmes, l’intégralité des rôles des savoirs autochtones dans les stratégies de préservation de la biodiversité, en plus des points forts et défaillances des diverses procédures et initiatives y afférent, la création d’emplois verts au profit des jeunes et femmes, ainsi que le rôle des organisations internationales dans la promotion de la complémentarité entre les initiatives et le financement durable.