Le comité des bourses d’études de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a tenu sa réunion annuelle sous la présidence de Dr Abdelilah Benarafa, Directeur général adjoint, et en présence de ses membres, Dr Ahmed Said Bah, conseiller du Directeur général aux partenariats et à la coopération internationale, superviseur du Secrétariat général des Commissions nationales et des Conférences, M. Aziz El Hajir, directeur de programmes au Secteur de l’Éducation, M. Mohamed Cheikhi, de la Fédération des Universités du Monde islamique (FUMI), Mme Aziza Afkir, du secrétariat de la Comité des bourses, et M. Mehdi Sebbar, du secrétariat du Secteur des Partenariats et de la Coopération internationale.

Au cours de la réunion, le comité a examiné les demandes reçues par l’ICESCO pour bénéficier de bourses au cours de l’année universitaire 2021-2022, que l’Organisation alloue chaque année au profit des étudiants des États membres et des communautés musulmanes des États non-membres. Le nombre de demandes soumises pour cette année a atteint 125 en provenance de 18 pays, en sachant que 90 bourses seront octroyées au titre de l’année universitaire 2021-2022.

Les bourses approuvées se divisent en bourses internes pour les étudiants qui poursuivent leurs études dans leur propre pays et en bourses externes pour ceux qui poursuivent leurs études dans des pays autres que le leur, dans des spécialités liées aux domaines d’action éducative, scientifique et culturelle de l’ICESCO, et qui servent les projets de développement dans les États membres et les communautés musulmanes dans les États non-membres, en tenant compte de la répartition géographique équitable de ces bourses aux pays bénéficiaires et de leurs besoins.

En vue d’encourager l’éducation des filles, l’ICESCO veille à faire bénéficier le plus grand nombre d’étudiantes possible des bourses, afin de leur permettre de poursuivre leurs études supérieures dans des spécialités liées aux domaines de compétence de l’Organisation, notamment celui des sciences et technologies, auquel l’ICESCO attache une importance capitale pour répondre aux besoins des États membres.