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    L’ICESCO, la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement et la COMSATS examinent lors d’un colloque à Rabat les extrants de la conférence sur le climat

    16 février 2022

    Lors d’un colloque sur les extrants de la COP 26 et les engagements du monde islamique et de l’Afrique, qui s’est tenu, mardi 15 février 2022 en présentiel au Centre International Hassan II de Formation à l’Environnement et à distance, par l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement et la COMSAT, les participants ont unanimement souligné la nécessité de concerter les efforts pour réduire les émissions de carbone et des gaz à effet de serre, de réhabiliter les écosystèmes, de renforcer la coopération régionale et internationale ainsi que la solidarité avec les pays moins développés et d’investir dans la recherche scientifique et l’innovation.

    Intitulé « Adaptation et atténuation des répercussions : consolider les efforts au service de l’action climatique », ce colloque s’est tenu en coopération avec l’UNESCO, le Centre de Compétence en Changement climatique (4C) au Maroc, le Centre régional pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, et les Cités et gouvernements locaux unis d’Afrique (CGLU Afrique).

    À cette occasion, les participants ont examiné les extrants de la COP26, qui s’est tenue à Glasgow en Écosse, et les principales mesures à même de faire face aux répercussions du changement climatique, à travers l’adaptation, l’atténuation et le financement. Ils ont également souligné la nécessité pour le monde islamique de contribuer à la préservation de l’environnement, à travers la mise en œuvre d’initiatives et de programmes pouvant contribuer à la gestion des effets du changement climatique.

    Dans son intervention, Dr Raheel Qamar, Directeur du Secteur des Sciences et de la Technologie à l’ICESCO, a souligné que la survie sur la planète nécessite d’unir les efforts des organisations, institutions et centres internationaux et régionaux opérant dans la préservation de l’environnement, en vue de limiter les conséquences du changement climatique.

    A l’issue de cette rencontre, les participants ont convenu de formuler un certain nombre de recommandations, notamment : réduire les émissions de gaz à effet de serre; parvenir à la neutralité du carbone à l’horizon 2050 ; conserver la biodiversité et promouvoir la « justice climatique », afin de stimuler le développement durable, au niveau international dans un contexte post-COVID-19. Il s’agit également d’exhorter les pays développés à soutenir diverses initiatives et programmes africains dans le domaine des énergies renouvelables et d’accroître les investissements dans la recherche scientifique et l’innovation technologique, en particulier dans le domaine du transfert technologique, en plus de la formation des jeunes et des femmes en sécurité environnementale et droits humains environnementaux , et de l’utilisation de l’intelligence artificielle et de ses applications pour faciliter et accélérer la mise en œuvre de l’action climatique à l’échelle mondiale.

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