Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), a reçu M. Lyeo Woon-ki, Président de la Fondation Corée-Afrique, afin d’examiner les perspectives de coopération entre l’ICESCO et la Fondation en matière de formation des jeunes, de renforcement de leurs capacités et de leur encouragement à l’entrepreneuriat.

Au cours de la rencontre, qui a eu lieu au siège de l’ICESCO à Rabat, Dr AlMalik a passé en revue les principaux axes de la vision et stratégie d’action de l’Organisation, qui adopte l’ouverture à tous et l’établissement de partenariats au profit des États membres dans ses domaines de compétence, soulignant que l’ICESCO attache une importance particulière au continent africain, notamment à travers ses partenariats constructifs en matière de développement socioéconomique, de renforcement des capacités des femmes, des filles et des jeunes et leur formation au leadership pour la paix et la sécurité, ainsi que de promotion de l’entreprenariat.

Il a évoqué les principaux programmes, initiatives et activités lancés et mis en œuvre par l’ICESCO depuis le début de la pandémie de COVID-19, en coopération avec nombre d’institutions donatrices et en coordination avec les autorités compétentes des États membres, en vue de soutenir les efforts de lutte contre les répercussions négatives de la pandémie, en particulier dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.

Pour sa part, M. Lyeo Woon-ki a salué le rôle joué par l’ICESCO et l’appui qu’elle fournit à ses États membres dans ses domaines de compétence, de même que l’importance particulière qu’elle attache à la consolidation des capacités des jeunes. Il a également passé en revue les activités mises en œuvre par la Fondation Corée-Afrique sur le continent africain.

M. Woon-ki a souligné que cette rencontre est une importante occasion d’établir une coopération fructueuse entre la Fondation et l’ICESCO, basée sur des programmes pionniers et innovants dont la mise en œuvre sur le terrain permettra de renforcer le rôle des jeunes, de les doter des compétences de l’avenir, d’améliorer leurs conditions en Afrique et de contribuer ainsi au développement durable de leurs pays.