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    Lancement de la 1ère réunion consultative sur l’indicateur du savoir dans les pays du monde islamique

    21 décembre 2022

    En présence de haut niveau de ministres, de responsables et de représentants des États membres de l’ICESCO et des organisations et institutions internationales, les travaux de la 1ère réunion consultative sur « Les indicateurs stratégiques de développement dans le monde islamique : indicateur du savoir comme modèle » ont été lancés au siège de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO). Cette réunion de deux jours est tenue par l’ICESCO en partenariat avec la Fondation Mohammed Bin Rashid Al Maktoum pour le savoir et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), en vue d’examiner l’indicateur mondial du savoir, utilisé pour mesurer la performance des pays en matière du savoir, et comprendre les transformations et les défis auxquels il fait face.

    Les travaux de la réunion ont été lancés mercredi 21 décembre 2022 avec la lecture de verset du Saint Coran. Ensuite, Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’ICESCO a prononcé son allocution au début de laquelle il a souligné le privilège de vivre dans cette ère de développement du savoir et des connaissances, et indiqué que la force des pays est mesurée par les réalisations dans le domaine de la technologie et de la recherche scientifique et du développement du savoir.

    Et d’ajouter que le développement durable dépend de la capacité d’imposer un développement continu, nécessitant ainsi de faire évoluer les mécanismes de la recherche scientifique et de former des individus capables de produire des connaissances. Il a également salué les pays islamiques qui ont progressé dans le domaine de l’indicateur du savoir, alors que d’autres pays n’ont toujours pas fourni les chiffres et les données souhaités.

    Pour conclure, le Directeur général de l’ICESCO a présenté nombre de recommandations pour promouvoir l’indicateur du savoir dans le monde islamique, et créer un cadre général pour l’indicateur susceptible d’accueillir avec précision ses données, et a souligné l’importance d’établir des partenariats efficaces dans ce domaine, ainsi que la volonté de l’ICESCO d’être un lien fiable entre les États membres et les indicateurs mondiaux.

    Pour sa part, Dr Jamal bin Huwaireb, Directeur exécutif de la Fondation Mohammed Bin Rashid Al Maktoum du savoir, a affirmé les efforts inlassables de la Fondation pour développer et élargir la coopération avec l’ICESCO à de nouveaux domaines, notamment la promotion du statut de la langue arabe, le soutien aux parcours du savoir et l’intégration des jeunes dans la construction de sociétés du savoir.

    Pour sa part, Dr Hani Turki, Conseiller technique principal, Directeur du projet du savoir au PNUD, a salué les efforts de l’ICESCO pour contribuer à soutenir et faire progresser le développement culturel et des connaissances dans ses États membres, expliquant l’importance de l’indicateur mondial du savoir, qui comprend 37 États membres de l’ICESCO.

    À l’issue de la séance d’ouverture, a été lancée la séance ministérielle sur les enjeux du savoir dans le monde islamique, animée par Mme Amira El-Fadil, Cheffe du Secteur des Partenariats et de la Coopération internationale de l’ICSECO, au cours de laquelle Dr Mohamed Ayman Ashour, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique en République Arabe d’Égypte, a souligné l’importance du développement du savoir et son impact positif sur tous les aspects de la vie, passant en revue les efforts de son pays pour investir dans le capital humain et l’ampleur des réalisations au cours de 2022 au niveau de la recherche scientifique en Égypte.

    Par ailleurs, Dr Patrick Mouguiama Daouda, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique, du Transfert de Technologies et de l’Éducation de la République du Gabon, a souligné la nécessité de diffuser le savoir et de promouvoir l’échange d’expériences pour atteindre les jeunes, les femmes et les groupes les plus nécessiteux. De son côté, Dr Abdellatif Miraoui, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation du Royaume du Maroc a souligné l’importance de suivre le rythme des technologies modernes, de faire appel aux jeunes et d’attirer les compétences, et de ne pas négliger les sciences sociales et humaines.

    À la fin de cette séance, une séance de discussion a été lancée, où un certain nombre de Secrétaires généraux des Commissions nationales des États membres de l’ICESCO ont posé nombre de questions et fait des propositions enrichissantes.

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